A la recherche d'un Nibi [PV : Ninjas de Kiri]

Il faisait presque froid, pourtant le soleil était tapant. C'était une des particularité du brouillard des ninjas de Kiri, il provoquait une certaine distorsion de la température, du moins c'est ce que mon corps avait soupsonné. Un dragon acqueux fonça sur moi, je l'évita sans mal. Ces trois ninjas qui m'attaquaient n'étaient pas très comodes quand je leur eux demander si il pouvait m'indiquer la position du Bijuu le plus proche. Mon sourire, celui dont j'avais le secret depuis si longtemps, avait dû leur glacer le sang. Mes yeux furent clos un instant, je ressentait juste le chakra de ces ninjas, non pas à travers mes yeux mais à travers les siens. Il était en colère, je ne sais pas encore pourquoi, je lui ais donné à manger hier mais il a refuser de se remplir la bedaine ce matin même. Il devait prévoir qu'il pourrait manger de la chair fraiche sans problème et sans attendre. J'avança d'un pas et je rouvrit mes yeux qui furent clos quelques instant auparavant. Un cadavre se trouvait auprès de moi, dans cette brume je pouvais le remarquer non seulement par le sang qui ruissellait vers moi mais aussi par l'odeur putride qui se dégageait déjà du cadavre. Il était mort depuis quelques secondes et pourtant on aurait dit que la décomposition l'avait déjà prit depuis plus de huit jours. En quelques minutes on voyait des larves et des rats qui commençait à dévorer le cadavre impuissant. Au loin j'entendis un cri, je n'avais rien fait, mes doigts étaient restés immobiles, pourtant c'était ma faute si ce shinobi était mort. Je ne me sentais pas coupable mais je savais que j'aurais pû l'empêcher de tuer. Le cadavre n'était pas apparent cette fois et aucun signe ne montrait qu'un homme était mort. Je continua à m'avancer sans tenir compte des obstacles invisibles qui se mettaient en travers de mon chemin. Je sentais la peur dans les gestes de la personne qui maintenait l'illusion de ce brouillard mais je n'allais pas le réconforter puisque quelques secondes plutart des crocs iraient se planter dans la gorge du malheureux. Maintenant c'est fait, je n'entend plus un son, surêment qu'il n'a pas eu le temps de crier. La peine que j'avais eu pour le second meurtre n'effleura même pas mon coeur cette fois ci. Mon esprit divaguait et je ne me rendis pas compte que Karios s'était couché près de moi et que à présent la brume avait disparue. Après quelques secondes je me mis à observer les environs. On aurait dit que rien ne s'était passé ici, il ne restait pas une goutte de sang, pas un os ni un seul insecte ou rat. Tout avait disparu en même temps que le brouillard. Je regarda mon fidèle compagnon qui avait accompli sa besogne sans broncher et qui n'avait pas hésiter pour m'aider à ma tâche. Je me rendis vers les portes de Kiri, le massacre avait eut lieu sur la route isolé près du village et je ne m'étais rendu compte que des quelques arbres qui ornaient ses bords et des quelques cailloux qui avaient l'honneur de s'étendre sur cette terre d'une dureté comparable à celle des montagnes de Iwa. En souriant je m'adressa à la première personne qui quittait le village ou qui y entrait, je ne fesait pas trop attention à sa direction.

- Bonjour, je cherche une information sur ce village, où puis je la trouver ?

J'avais troquer ma cape d'Akatsuki contre une de mes capes personnels dans ma sacoche car il avait paru que les shinobis qui m'eurent attaquer avait été aussi suspicieux à cause de ma cape. J'étais vêtu à présent d'une cape de voyageur de couleur marron qui s'accordait parfaitement avec la couleur de mes cheveux. Mon fidèle compagnon s'était installé dans un buisson non loin de là pour commencer sa sieste après un repas bien mérité. Je comtemplais le village, en même temps en faisant attention à chaque geste, chaque paroles de mon interlocuteur.

Une arme ... je viens de me souvenir que la mienne est encore à ma ceinture, caché sous ma cape de couleur brunâtre que l'on appelle marron. Je soupira un moment, que se passe t'il pour que trois ninjas m'attaquent sans réel raison et que ensuite je me fasse agresser par une femme. Elle le fait pour le plaisir ? Non, ses yeux ne me trompent pas et me disent qu'il y a une cause sous jacente à ce comportement hostile. Je pris un sourire naïf, mon chakra était caché en grande partie et je simula une grande surprise en trébuchant et en tombant à terre dans mon élan. Je me releva en écoutant les paroles de la jeune femme qui semblait être une personne d'une puissance assez colossale.

- Je ne répondrai pas à ta question avant que tu ne me dises qui tu es et de où tu viens , si tu mest, je le saurai... Oh ! et qui est avec toi ?... Répond !

Elle l'a remarqué ? Non, je ne pense pas mais quoique ... il a oublier de cacher sa prescence. Je regarde vers le buisson dans lequel est caché mon fidèle compagnon et je lui demande de venir par ici, sans parler. Il me comprend évidement car un loup sort du buisson sans mal et se secoue après avoir fait une courte sieste, il est mécontent apparement mais je pense tout de même qu'il n'attaquera pas la jeune femme, étant donné qu'il a déjà bien mangé auparavant. Mon sourire fait en sorte qu'il s'appaise encore quelques peu, puis il se dirige vers moi et s'installe auprès de mes pieds. Je souris à la jeune femme devant moi, je prend un certain temps de réaction avant de me rendre compte que la jeune femme doit s'impatienter. Je répondis alors d'une voix claire :

- Voici mon compagnon, Karios, il est innofenssif pour le moment. Je me prénomme Juugo, je suis originaire de Oto à ma connaissance.

Mon nom n'était connu que de rares personnes ayant un rapport avec Orochimaru, celles qui avaient participé aux experiences et auxquels j'avais céder mon enzyme. Je me souvins d'un coup ce que je venais faire ici. Devant moi je ne pûs avant m'empêcher d'observer l'architecture honorifique de ce village qui était en réalité sur une île. Je la regarda encore en me demandant ce que je pouvais bien lui dire et je finis par demander :

- Est ce que Nibi est dans ce village, en toute indiscretion, je dois rapporter certaines informations à certaines personnes et je me pose cette question.

Si elle connaissait mon nom elle n'aurait pas l'audace de m'affronter mais si elle ne le connaissait pas elle serait tenter d'engager le combat. Heuresement qu'elle devait avoir une certaine intelligence et je rajouta dans sa direction des paroles portés par le vent :

- Si tu mens, je le saurais

Mes yeux furent clos un instant, calmant la bête qui sommeillait en moi.

Anko étais surprise d'enfin rencontrer l'homme que tout le monde ne connaissait pas son nom sauf elle et quelque exeption, elle avait aucunement entendu dire qu'il venait d'Oto alors elle pris son sabre et le pointa vers lui

qu'il''Je sais que tu ne vien pas d'Oto, j'ai des oreils, mais je sais aussi que je mourrai si je combat contre toi seule alors fait que me dire ton identité, ta vrai et je n'appelerai pas de ninja de haut niveau !''

Elle le regardait tout en tenant son sabre, en espérant qu'il ne l'attaquerai pas. Elle se mit a reculé, un peu de peur car elle peut bien etre épeiste, il est plus fort qu'elle et rarement elle a affronté des gens de se niveau, elle tribucha et se cassa la cheville alors elle cria

'' Je te prévien, tu ne fait un simple mouvement et j'appelerai des ninjas de Kiri alors ne bouge pas.''

Elle regarda sa cheville et gemis un peu de douleur, et fini par dire honnetement un peu en sanglot, apres la triste journé qu'elle est passé. elle n'était pas a sa plus grande forme.

''Sérieux je ne suis pas au courant, car je ne suis qu'au village depuis qu'un mois.''

Elle dit ensuite en se relevant difficilement

'' Part de ou tu vien, je ne te laissera pas passé, meme s'il faut que je meur...''

Elle s'appreta a crier encore plus fort pour que les gardes l'entendre quand Jugo, lui coupa la parole...

Les filles, ça parle beaucoup trop. Je pense qu'elles feraient mieux de se taire desfois, de plus là elle est en train de dire des bêtises ... peut être qu'elle a assez cotoyé Orochimaru pour savoir qui je suis ... ce doit donc être Anko Mitarashi, une des septs épeïstes de Kiri. Karios l'a remarqué car dans ses yeux brillent une lueur combattive, il a envie de l'affronter. Il vas être déçu quand je lui dirais que nous n'allons pas tuer cette jeune femme et que nous allons seulement prendre des informations. Il n'était pas auprès de moi à Konoha, dans le temple des Uchiwa, c'est un faît car il ne peut pas entrer dans les villages sans provoquer de paniques. Il est très doux normalement ... normalement, c'est un mot qui définit un nombre de situation assez réduit. Je souriais à mon compagnon quand tout à coup la jeune femme trébucha. Elle s'était foulé la cheville malheuresement pour elle. Karios faillit sauter sur elle mais je lui adressa un signe pour qu'il reste calme et j'écouta la suite de ses paroles, celles de Anko.

- Je te préviens, tu fais un seul mouvement et j'appel les gardes de Kiri !

Les gardes de Kiri ... je commençais à ce moment là à réfléchir à ce pourquoi cette phrase me semblait si ridicule. Elle me sortit de mes songes en émettant une plainte face à la douleur et en tentant de se sauver par les mots.

- Je ne suis dans ce village que depuis un mois, je ne sais rien !

C'est embêtant pour elle, elle est donc inutile dans mon plan pour savoir qu'elle est le Jinchiruki du démon à deux queue, le fameux Nibi. Je me demande ce que Karin et Sasuke font en ce moment, Sasuke a sûrement déjà engager un combat et Karin doit être difficilement gérable si elle est tombé sur des personnes dont le Q.I. est en dessous de 10. Je rigolais à cette penssée et je ne remarqua pas que Anko s'était remise debout. Elle m'adressa des paroles qui disaient :

- Repart d'où tu viens, je te combattrais jusqu'à la mort s'il le faut ...

Je l'interrompis tout de même dans son élan. Je me souvins aussi pourquoi l'idée de voir les gardes de Kiri débarqué me semblait si ridicule :

- Ecoute, je ne suis pas là pour tuer qui que ce soit, les gardes m'ont agresser, je ne suis pour rien dans leurs morts malgré que Karios ait eu un bon repas, alors excuse moi mais j'aimerais des informations et tu ne peux apparement pas me les procurer, alors est ce que je peux simplement voir si quelqu'un d'autre peut me fournir ces informations ...

Je rajouta alors mais sur un ton ironique pour embêlir la situation assez dramatique :

- ... s'il te plaît

A présent mes yeux étaient à demi-clos, comme pour me rassurer sur le faît que ma bête était calme en ce moment précis.

Anko étais surprise et avait les yeux grand ouvert quand elle apris que meme s'elle criait, personnne ne pouvait entendre car le loup de ce dernier avait tué ceux-ci. Debout sur un jambe, elle pris conscience que Nibi dont il parlait n'étais guers une personne mais un bijuu et lui voulait faire du mal a la personne dont il le portait, c'était son intuition. Alors elle détacha son long épée et dit d'un air sérieux, sans peur ni de tristesse.

'' Je sais ou il est, je vien de comprende de qui tu parle, je sais meme son nom, son village. Je te le dirait pas !''

Ensuite elle oublia sa douleur a la cheville et la posa au sol, elle marchait dessus, mais elle ne ressentais abselument rien. Elle fini par criée.

'' Tu as compris !''

Elle le regardait toujour le sabre a la main.

La femme en face de moi avait un air de surprise, comme je l'aurais parier d'ailleurs. Je soupira mais je remarqua aussi qu'elle savait quelque chose que j'ignorais à présent. Elle devait le savoir, et je le saurais si elle me le disait. Mais j'étais venu ici au départ sans intention de tuer, je n'avais d'ailleurs aucune émotions de méchanceté en ce moment et je voulais simplement une information. J'observais chacun de ses mouvements, tellement bien que je m'étonna encore une fois de ma vue. Elle commença à dégainer sa longue épée et prit un air sérieux qui lui offrait quelques rides on eu pût dire mais ce n'était guère le cas, même si je l'eu espéré. Aucune peur ... aucune tristesse ... ça ne servait à rien de la tuer, elle m'adressa quelques mots d'un ton qui était au délà de la frontière du serieux :

- Je sais où il se trouve, je connais son identité, son village mais tu peux toujours crever, je ne te le dirais pas !

Je l'aurais parier, c'est étrange mais maintenant elle risque de m'interresser. Si elle sait quelque chose alors dans ce cas là cela veut dire que ... elle a dit " son village ", dans ce cas il ne se trouve en ce moment pas dans Kiri, c'est en rapport avec la guerre dont j'ai entendu parler ... dans ce cas là on aurait pas de mal à le prendre si il se trouve à Oto ou Suna, un peu plus si c'est à Kumo qu'il s'abrite car lui n'est pas en guerre direct. En tout cas Karios a l'air d'avoir lui aussi compris la situation, il ne s'est pas lever mais son esprit a l'air de tergivercer à présent. Elle commençait à marcher, ignorant sa blessure. L'idiote, si ça continuait comme ça elle ne pourrait plus marcher. Je l'entendis hurler, comme une parole de desespoir chez mes victimes :

- Tu as compris !?

Je ferma les yeux à ce moment précis et je mis de l'ordre dans mon esprit. En ce moment le démon à deux queues ne se trouvait pas dans ce village, dans ce cas là il devait être autre part. Je pourrais donc partir à Suna ou Kumo, sachant que Sasuke se débrouillera très bien tout seul ... par contre Suigetsu n'a toujours pas montrer le bout de son nez et je sais que à Suna, Karin pourrait avoir besoin d'aide malgré le faît que la guerre ne soit que imminente. Je souriais à présent, les yeux toujours clos. Je dis à Anko, dans mes paroles claires et précises :

- Tu as de la chance que Nibi ne soit pas dans ce village, je t'aurais surrement tuer sinon et j'aurais appeller mes coéquipiers pour détruire ce village jusqu'à trouver le Bijuu

J'avais parler d'une traite, sans interruption. Mon esprit s'était réouvert assez pour que j'ouvre les yeux calmement. J'ajouta alors sur une dernière parole :

- Je n'ai plus rien à faire ici, soigne ta cheville et apprend à contrôler ton language et tes paroles, Anko Mitarashi

Karios se leva brusquement et fonça derrière Anko sans qu'elle eut le temps de réagir. Il venait de disparaître comme par enchantement dans les sombres ruelles de la ville. Tandis que le loup faisait ce coup là je disparus, plus exactement je sauta sur un arbre près de moi et je salua Anko d'un signe de la main. Mon compagnon revint alors, un papier dans la gueule, et me le donna. Je le lus durant deux secondes et je le laissa tomber, c'était la liste des dernieres personnes ayant franchis la porte de Kiri. Mais pourquoi l'avais je lu ? Je ne sais pas exactement.

Avant que Juugo parti elle se calma enfin et s'approcha de Juugo et approcha de son oreil pour lui chuchotté un derniere question avant qu'il parte

'' Tu es de la fameuse organisation d'akatsuki, ou bien la team de taka ?.. Sache que tout les kages seront a propos de toi et de ta recherche sur Nibi !

Elle recula ensuite avec un sourire au lèvres et les yeux fermés, elle lui fit un signe de têtes qui voulait dire ''Aurevoir !''. Mme Mitarashi disparue ensuite dans un amat de fumé, brume et poussiere.

[Parti a l'hôpital xD]