Pour s'en sortire...[Libre]

Après avoir encaissé plusieurs coups, sans avoir réussie à en donner autant, Kenshie trouva plus préférable de quitté le lieux de combat. Après quelque heures de marches, et de course, elle arriva au beau millieux d'une forêt. Elle remarqua un grand ruissaut et aussi plusieurs arbre. Elle s'adossa contre un des arbres et toussa un peu avant de prendre la parole, à elle même;

- Si seulement, je ne me laissais pas abâttre par cette maladie j'aurais resté bien plus longtemps... Et j'aurais pus attaque sans de misère...

Kenshie reprit lentement son souffle et se rendit vers le lac, elle ne voulait plus retourné à Oto, elle deserterait si il le fallait. Elle se rendrait dans un autre village, mais ne voulait plus retourné la-bas. Trop de mauvais souvenir la choquait. Seulement elle ne voulait pas partire seul, elle resterait si Asako resterait. Elle s'assise au bord du lac et enleva ses souliers avant de en final mettre ses pieds dans l'eau. Elle pensait à tout les personnes qu'elle aimait et se rapella surtout de Kira, cette femme du même rang que elle avait toujours été son amie la plus chère. Peut être pourait-elle se rendre à Kiri, mais pour le moment malgré qu'elle ne le voulait pas elle retournerait à Oto après la guerre. Elle pourrait toujours esperer recommençer à zéro, juste après la guerre et oublier cette malheureuse accident, tant de sang avait été vidé sur le champ de bataille, elle s'inquiettait pour ses amis. Surtout Kisuke, Trish et Nikasu... En plus de Asako, elle voulait tous les revoirs... Sains et sauf.

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Je dormais sur un arbre, c'est agréable de se tenir sur un arbre durant toute la journée, s'endormir et rêvasser, laisser ses rêves tourmenté s'envoler sur le premier nuage passant et prendre possession des rêves agréables que le vent amêne dans ses courses éffreinnés. Le soleil brillait de milles feu, la chaleur n'était pas inssuportable et tenait en quelques rayons agréables qui réussissaient à percer à travers les feuilles de l'arbre sur lequel je m'étais percher. J'écoutais la mélodie des oiseaux qui se trouvaient près du ruisseaux dans les environs, je devais être plonger dans un demi sommeil et ma prescence était innexistante. J'entendis des pas venir dans ma direction ... des pas blessés ... des pas malades ... des pas abbandonnés sagement par sa propriétaire. J'entendis la voix d'une femme toussante.

- Si seulement, je ne me laissais pas abâttre par cette maladie j'aurais resté bien plus longtemps... Et j'aurais pus attaque sans de misère...

Dans un premier temps cette voix fut prise comme dans un rêve, elle parraissait sortir de mon immagination et mes rêves infinis l'avait perdu durant quelques minutes, ma mémoire s'était envolé et avait décidé de perdre ses éclats. Je souriais, pourquoi ? Je ne le sais pas mais à travers ce sommeil de mille et un temps je souriais calmement. Mon coeur était appaisé, j'avais déjà ressentit cette émotion mais cette fois c'était mieux et mon sommeil commença à se faire profond. Je me serais entièrement endormie si, dans ce silence infini, deux petits écureuils n'avaient pas pertubés mon sommeil et, se chamaillant gentillement dans cet arbre, ils n'avaient pas réussi à me destabilisés pour me faire tomber. Je me releva, encore à moitié endormie, et je secoua ma cape de voyage. Je faisais partie de l'Akatsuki mais je n'avais aucune intention de le montrer sur tout les toits, de plus je devais me faire discrète et donc, sans mécontentement, ne pas agir. Après un dernier soupir perdu je me dirigea vers le lac le plus proche pour me raffraichir, même si l'eau n'était pas mon élement favori depuis quelques temps, j'aimais me tremper les pieds dans l'eau. Après quelques minutes j'arriva sur le lieu de relaxation et à ma grande surprise j'y trouva quelqu'un qui s'était installé dans ce silence mélancolique. Je ne pris pas compte de la discretion que je devais m'assurer mais je cacha tout de même cette fameuse bague d'Akatsuki pour ne pas lui montrer un côté hostile de ma personne et je m'installa auprès de la jeune femme, mon sourire naturel aux lèvres. Ma voix s'éleva calmement et cassa le silence inscrit dans cette nature.

- Bonjour, c'est un endroit agréable ici, mais un peu éloigné, que faîte vous si loin du berceau de vos derniers jours ?

Par dernier jours je voulais évidement dire les derniers jours qu'elle avait passé dans son village mais cette tournure de phrase était rarement utilisée. Je remarquais clairement son bandeau qui indiquait la provonence de cette jeune femme, moi même j'avais défais il y a longtemps mon bandeau et il n'ornait plus à présent mon corps.

Kenshie avait fermer les yeux pour pouvoir mieux profiter du silence, quand elle entendit une voix. S'était une femme qui s'était adresser à elle;

- Bonjour, c'est un endroit agréable ici, mais un peu éloigné, que faîte vous si loin du berceau de vos derniers jours ?

Elle avait un sourire aux lèvres, se sourire était naturel, s'était visible. La femme de son coté était très jolie, elle avait la peau assez foncé, quelque chose que Kenshie n'avait jamais vraiment vue, elle avait de magnifique cheveux violets et ses yeux était brun, Kenshie s'était habituer de voir des gens étrange, elle même n'était pas normal avec ses cheveux roses pâle. Elle regarda la dame et lui fit un légé sourire avant de brisé le silence qu'elle avait reussi à réinstaller;

- J'ai fuis, mon village à été attaquer par les ninjas de Suna et après avoir encaissé plus de coups que d'en avoir donner j'ai emplement préférer quitter les lieux et laissé les kages se bâttre en eux, même si je suis un peu inquiète et vous que faîte vous si loin du berceau de vos derniers jours?

Kenshie fut surprise de remarquer que la femme n'avait aucun bandeau qui montrait son appartenance, elle trouvait sa étrange mais était habituer, Kira non plus n'avait aucun bandeau et elle était bien normal. La jeune kunoichi tourna son regard vers le lac et passa une main dans ses cheveux. Son coeur n'était pas trenquil elle était têllement inquiette pour ses amis et Asako surtout. Elle ne voulait pas retourné à Oto si s'était pour voir le corp de Asako sans vie dans une marre de son propre sang. Elle n'aimait pas du tout les guerres chaque fois cela tournait mal et Kenshie était beaucoup plus dans le genre de éssayer de trouvé un terrain d'entende avant toute autres choses.

Invité

Je me retrouvais devant une personne bien étrange. Elle a l'air d'être assez compliqué d'esprit, me trouvant sûrement étrange mais elle même était assez particulière. Ses cheveux roses tombaient le long de son dos, ses yeux semblaient brillés d'une lueur violacée. C'était une jeune femme autant spécial à l'exterieur qu'à l'interieur, je comptais tout au plus trente battement de pouls par minutes ce qui était inquiétant. Elle ne devait pas se servir de taijutsu pourtant elle était ninja, j'en déduisais donc qu'elle se servait d'une autre technique de combat indirect. Les maladies comme cela sont soignables par des greffes généralement mais c'est risqué. Je soupirais calmement puis je vis s'inscrire un sourire éphémère sur le visage de la jeune femme, brisant le silence installé et répondant à ma question :

- J'ai fuis, mon village qui a été attaquer par les ninjas de Suna et après avoir encaissé plus de coups que d'en avoir donner j'ai préférer quitter les lieux et laisser les kages se battre entre eux, même si je suis un peu inquiète et vous que faîte vous si loin du berceau de vos derniers jours ?

Mon ancien village était en guerre, c'était assez ironique car j'étais l'ennemi indirect de cette pauvre jeune femme mais je ne me sentais pas en joie de combattre et ma sérénité ne pût être qu'à semi-perturbé par deux petits écureuils qui se chamaillaient une noisette sur les branches d'un noisetier qui possédaient une multitude d'autres noisettes. Je rigolais de bon coeur à cette pensée amicale. Pendant ce temps la jeune femme s'était tournée vers le lac, elle retournait à la source de ses soucis, je soupirais et finalement je remarqua que les personnes que la jeune femme connaissaient ne m'étaient pour la plupart pas inconnue. J'avais brièvement rencontrer Asako et Urahara à Oto ainsi que Orochimaru. Mais ils n'étaient pas particulièrement amicals à ma préscence. La jeune femme avait l'air d'être hostile à la guerre, de par la clareté de ses yeux lorsqu'elle m'eut parler de cela. Je voulais la rassuré et je tenta alors quelque chose en disant :

- Pour répondre à ta question je suis né dans une cabane sans réel appartenance et j'ai beaucoup voyagé ensuite. Si le coeur t'en dis je peux tenter de te donner des nouvelles des personnes que tu veux si par chance je les ais déjà rencontrer.

J'avais brisé le court de ses pensées mais sa tristesse était telle que j'en avais mal au coeur. Je pouvais ressentir leurs prescences sans me mettre en danger. Efficace comme technique. Sans impatience j'attendis la réponse de la jeune femme.

La jeune anbu écouta attentivement les paroles de la jeune femme;

- Pour répondre à ta question je suis né dans une cabane sans réel appartenance et j'ai beaucoup voyagé ensuite. Si le coeur t'en dis je peux tenter de te donner des nouvelles des personnes que tu veux si par chance je les ais déjà rencontrer.

Kenshie secoua la tête, elle irrait elle même voir comment allait ses amis et comptait bien y aller maintenant;

- Je vais allez voir moi même, merci beaucoup

Elle se releva reprit ses chassures et partit.