A Konoha

~Espada Noitora Jirga~

Il faisait nuit, je n'avais pas encore ouvert la fenêtre pour passer d'un monde à l'autre. Nous devons nous retrouver dans le monde des Shinobis ... le but je m'en fou, la destruction et la mort de Konoha sont mes deux seuls préocupations. De mon vivant ... j'étais puissant, l'on m'aurait elevé au rang de Sanin si je n'avais pas tuer le Chef d'Anbu de l'époque de sang-froid. Je crois que c'est après cet évenement que l'Hokage m'a fait assassiner, le lâche. Il n'était pas capable de me battre alors il a envoyer ses sbires pour me tuer ... oui c'est la logique qui veut ça, je ne leur permettrais pas de me tuer de nouveau, de plus je suis encore plus puissant qu'à l'époque, je pourrais sans problème détruire Konoha d'une seul main ... mais je veux du sang, des combats ... et du sang. C'est mon nîndo que de détruire la nation de Konoha. Je suis pourtant seul ces temps ci, même si Sazyel Apparo m'a aide il y a peu de temps pour me débarasser d'elle ... c'est de l'histoire ancienne maintenant, je me dois de vous aider à accomplir votre destinné ...

A présent la fenêtre obscure s'ouvre vers le commun des mortels. J'aperçois alors des ninjas avec des masques d'Anbu et je reconnais parmi eux l'un de mes anciens compères. Je ne sort même pas mon épée, je ne la sortirais pas pour le menus freutin. Lorsque j'aperçois qu'ils commencent à aller plus vite je remarque que je laisse trop percevoir ma prescence, je la cache donc. Lorsque j'aparaît devant eux je me delecte de la terreur dans leurs yeux, ils ont peur c'est sûr mais en plus ils ont peur de moi. Mon ancien camarade m'a reconnu à ce que je vois et c'est tant mieux car je veux qu'il dise que je suis de retour. Je veux qu'il le crie haut et fort : Noitora est de retour.

Je regarde le ninja effrayé partir, il a encore été boulversé par la mort de ses coéquipiers ... ces anbus ... je n'ai utiliser que un doigt pourtant et ils sont quand bien même trop facile à tuer. Lorsque je me souviens des bon vieux massacres ... je suis assez nostalgique. Finalement je souris et j'ouvre une nouvelle fenêtre vers mon monde, celui qui me rapelle que nous sommes maître de la destruction ... de la mort.