Obito été entrain d’agoniser ses compagnons été partient il avait de plus en plus de mal à respirer du sang commençait à se remplir dans sa trachée et dans son œsophage il croyait que l’heure du jugement dernier été arrivé pour lui qu’il allait rejoindre le paradis mais une sorte de lumière pénétra la grotte et éclaira le visage couvert de sang de Obito qui continuait d’agoniser mais soudain une jeune femme de vingt ans à peine commençait à se diriger vers lui à sa vue il croyait voir un ange arriver mais finalement il se rendit compte que ce n’était qu’une femme normal avec de beau long cheveux long luisant dans le peu de soleil qui éclairer la grotte elle sortit un mouchoir avec des lettres d’or brodé « L.S » elle essuya le visage entièrement ensanglanté de Obito qui souriait mais avec le peu de force qui lui rester ce fut un petit sourir bref vu qu’il s’évanouit juste après la jeune fille compétente dans le domaine médical commençait à lui porter les premiers soin elle eut quelque goutte de sueur sur le visage souvent elle se demandait si se n’été par terminer pour la vie du jeune garçon au cheveux noir elle ne savait pas pourquoi elle faisait sa mais elle le faisait peut être parce que ce jeune garçon lui plaisait ou elle aimait bien aider les gens. Obito après deux heures de soin sans répits pour la jeune femme commença à ouvrir les yeux. Il se rappelait peu à peu les événement produit auparavant, il essaya de se relever mais son ventre le faisait souffrir il se rallongea et contempla longtemps le visage de la jeune femme qui l’avait sauver elle était belle son nez était en parfaite proportion avec son visage ses yeux bleu allait bien avec sa couleur e cheveux puis quand il sentit la force de se lever il se leva et demanda
-Que puis je faire pour vous après que vous m‘aillez sauver je ferai tout pour vous
La jeune femme hésita car ce serai profiter de quelqu’un elle n’aimait pas beaucoup sa elle se demandait en même temps ce qu’elle pourrait lui demandait . Elle finit par lui dire d’un ton timide est géné
-Oui j’aimerai que vous m’aideriez à tuer mon père qui ma violait et battu à mainte reprise.
Obito eu les yeux enflammé personne ne pouvait violer une fille mais en plus la battre ceci était inadmissible pour Obito il était bien content que la fille lui en ait parler il pourrait faire ainsi justice lui même et venger celle qui la sauver il remercia la jeune fille et lui promit de tuer son père demain après savoir reposer il alla se reposer dans la forêt qui n’était pas loin la forêt était éclairer par le soleil les feuilles s’étirer un peu avec la petite brise qui était là les cheveux e Obito voguait un peu dans le vent il devait se nourrir se soir mais ça n’allait pas être facile avec sa maladroititude qui l’empêchait constamment de faire de mauvaise chose mais il devait faire avec et si il arriva à surmonter se défaut il deviendrait sans doute plus fort est sa le motiver grandement il alla donc en forêt chercher de quoi manger ce n’était pas facile mais il trouva une biche il s’approcha lentement de la biche mais tomba en avant la biche entendant un bruit, une odeur et la présence d’un homme elle fuait dans les bois plus profond Obito était démoraliser il avait eu tant de mal à trouver cette biche et elle s’enfuait sous son nez Obito continua à chercher une autre proie mais il cherchait avec encore plus de mal et finit par trouver un ours mais il se disait que c’était peut être une trop grosse proie mais il devait manger après tout le sang qu’il eut perdu il lança plusieurs kunai et réussi à tuer l’ours qui ne voyait rien arriver Obito mangea un peu avant de s’évanouir sans doute à cause de tout le sang perdu. Pendant la nuit beaucoup de chose se passer la chouette faucher la souris le lièvre dormait mais plus d’agitation se passer dans une maison à quelle que mètres de la ou dormait Obito des cris venait de cette maison les animaux qui était proche de cette maison s’en allèrent sous la puissance des cris soudain du sang gicla sur la vitre et une des deux ombres tomba raide la deuxième ombre semblait paniqué elle bougeait dans tout les sens. Le lendemain matin Obito dormait depuis longtemps il ouvra légerement les yeux pour entrevoir les lueurs du jours ses yeux s’ouvrèrent peu à peu il voyait un oiseau entrain de picorer à côté de lui l’oiseau semblait un peu apeuré de voir une chose grande voir très grande pour un oiseau cette chose bouger ce qui effrayait un peu l’oiseau Obito prit l’oiseau dans ses mains l’oiseau sentit aucune menace de la part de ce jeune garçon se laissa prendre Obito racontait ses événement récent à l’oiseau qui ne comprenait évidemment rien mais Obito le savait mais continuez sa lui faisait du bien de se confier à quelqu’un puis il se leva lentement et fit envoler l’oiseau il devait trouver la maison de celle qui l’avait sauver il se metta en route il chercha un peu partout il finit par trouver la maison plutôt délabrer la vitre cassé il remarqua qu’elle que éclaboussure de sang il toqua à la porte mais personne ne répondit il regarda par la fenêtre et vit le corps de celle qui l’avait sauver gisant à terre un katana dans le ventre soudain il sentit un mouvement de rage et défonça la porte il regardait l’homme ivre avec ces yeux … ces yeux c’était le sharingan à la deuxième branche il sortit un kunaï et leva l’homme ivre et lui demanda
-Que lui as tu fait ivrogne de malheur que lui as tu fait ?
L’ivrogne encore saoul répondit d’un ton innocent :
-Je sais pas hier elle est rentré tard je lui ait demandé ou elle était passé elle ne me répondit pas j’ai pas apprécier sa alors je l’ai menacer elle m’a lançer son sac à la figure je me suis énervé je lui ai courut après elle s’est arrêté ma insulté puis moi qui était saoul est énervé je l’ai tuer
Obito en entendant cela sortit son kunai le planta dans le ventre de l’homme puis prit la jeune fille morte dans ses bras puis sortit de la maison il fit des muras et fit la technique de la balsamine et enflamma la maison avec l’homme à l’intérieur l’acool de la maison engendra plus vite les flammes en quelques minutes les flammes consumèrent la maison comme tout les souvenirs douloureux pour la jeune fille qu’il portait il ne savait pas son nom mais en entendant les cris d’agonis du père de celle-ci il était fier d’avoir lavé l’honneur d’une fille bien.
[Fin]